Automne
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Il faut faire danser au soir des étoiles éphémères
Et les nourrir de la terre que fouissent nos mains
Parce qu’alors en nous ensommeillant
nous aurons le regard charmant
tourné vers l’autre forêt, celle qui découpe sur le ciel indigo
les hêtres flamboyants de l’automne
Nous marcherons pas à pas sur l’humus grave
Dans nos narines apaisées
se déposeront des senteurs d’agave
Et fermant les yeux nous suivrons dans la nuit
ces papillons de lumière.
Janvier 2017
poème qui nous connecte à la terre à sa beauté
sans oublié l’imaginaire féerique qui nourrit l’âme de ma soeur de lumière